


AAD - Aide à une Activité Durable
Humanitaire - CaritativeL'AAD est l’œuvre de Jo Costeplane homme de caractère, de conviction, généreux. Il voyagea beaucoup et sa rencontre avec l’Afrique et le Sénégal, en particulier, le poussa à s’engager vers une voie humanitaire. Aider ces populations sur trois directions : l’eau, la santé et la scolarisation.
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Qui sommes-nous ?
Jo Costeplane, fondateur de l'AAD.
L'AAD est l’œuvre de Jo Costeplane homme de caractère, de conviction, généreux.
Il voyagea beaucoup et sa rencontre avec l’Afrique et le Sénégal, en particulier, le poussa à s’engager vers une voie humanitaire, il se lança le défi d’aider ces populations sur trois directions : l’eau, la santé et la scolarisation.
Il s’y consacra pendant 11 années.
Jo nous a quitté le 24 janvier 2018 après deux années de combat contre le cancer où malgré la fatigue, la douleur, il poursuivit sa voie. Il nous laisse en héritage "L’AAD" son œuvre. Prenez le temps de lire l’histoire de cet Homme. Il vous convaincra de nous rejoindre.
L'histoire :
Depuis quelques années j’ai eu le plaisir de voyager principalement en dehors des routes touristiques, ce qui m’a donné l’occasion de prendre de nombreuses photographies. Témoins de mon passage, elles ont contribué aux rencontres et favorisé les dialogues. Que ce soit au Mexique à Cuba ou en Afrique, j’ai recueilli une multitude d’informations qui m’ont permis même à mon âge de me faire grandir …
C’est lors de mon dernier voyage en Afrique Noire que le côté tragique de certaines vies m’a fortement saisi.
La Gambie, la Casamance, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal furent autant de témoignages et de découvertes bien plus pitoyables à mes yeux.
Une vision de leur quotidien totalement inconnue jusqu’à ce jour si ce n’est à travers des écrits ou des reportages. Mes a priori furent vite balayés de mon esprit pour faire place à la réalité que je côtoyais.
Loin des sentiers touristiques et trompeurs, j’ai découvert un continent aux contrastes saisissants. Mon imaginaire ne pouvait suffire tant la réalité était surprenante. En effet, par exemple, je traverse une brousse aride dans laquelle les villages sont dépourvus de tout. C’est la misère. A deux pas de là : l’ostentatoire avec ses plages à touristes. De ce coté des Cases luxueuses gardées par 24h/24h par crainte des autres et de l’autre des abris de tôles et de feuilles de palmiers. Rien d’autre, si ce n’est la « merde » qui envahit les abords. Ces cases abritent des familles nombreuses… polygames…
Autre exemple : la construction d’un château d’eau destiné à un lotissement luxueux d’un investisseur étranger alors que de l’autre côté de la route se trouve un petit village où vivent 160 personnes environ, privées d’eau et d’électricité. La pompe mécanique de l’unique puits ne fonctionne même plus depuis 6 mois et les femmes tirent l’eau par 12m de fond, avec une corde sans poulie.