Présentation de la phase 2 du projet

L’Association loi 1901, NUCLEAIRE JE BALISE (NJB), en partenariat avec la CRIIRAD (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité), travaille à ce projet depuis 2019. Nous avons déjà obtenu 17 000€ grâce au crowdfunding Helloasso de la phase 1 du projet, pour l'achat et l'installation de la sonde, 10 000€ en tant que Lauréat du Budget Participatif Régional de la Région IDF, et enfin 7000€ par Réseau Sortir du Nucléaire. Ces deux derniers montant sous la condition que se réalise le projet.

L'objectif en phase 2 est de créer les conditions d'une convention multipartite de fonctionnement avec différents acteurs locaux, mais aussi avec vous, citoyens. Il suffirait, à titre d'exemple, que 265 donateurs, sur presque 12 millions d'habitants d'Ile-de-France, versent 100€ tous les ans (34€ après déduction d'impôt de 66%) pour que la sonde soit pérennisée 24h/24, 365j/365.

NOUS AVONS DONC BESOIN DE VOUS POUR CETTE PHASE 2 D'ACQUISITION DE LA SOMME NECESSAIRE AU       FONCTIONNEMENT PERMANENT DE LA SONDE

Il nous faut 26000€ pour surveiller en continu l'air que l'on respire, pour évaluer les risques, et pouvoir prendre des mesures de protection immédiates. Faisons ensemble que ce projet aboutisse pour que nous ayons les moyens indépendants, honnêtes et transparents, d’une information qui pourrait le cas échéant, contredire l’information officielle. L’accès en sera gratuit pour l’ensemble des Franciliens et de toute autre personne souhaitant être informée.

        LA FRANCE N’A PLUS LES MOYENS D’ASSURER LA SÛRETÉ ET LA SECURITE DE NOS INSTALLATIONS                                                                                                NUCLÉAIRES

Nous sommes, dans la région parisienne, entourés d’installations nucléaires :

-Au Nord Ouest (Gravelines, Penly, Paluel), au Sud (Saclay, Saint Laurent des Eaux, Belleville sur Loire…), à l’Est (Nogent sur Seine), à l’ouest (La Hague, Flamanville)

-Nos centrales sont vieilles, vétustes, régulièrement épinglées pour la sûreté et la sécurité (RAPPORT Pompili) et 10 ans après Fukushima, elles ne sont pas encore toutes mises aux « Normes de l’après Fukushima » !!! L’État a décidé de prolonger la durée de vie des centrales de 10 ans, sans débat public. 
 

-L’EPR de Flamanville présente d’énormes défauts dès avant sa mise en service, sans parler des problèmes à Taishan en Chine, construit sous le même principe

-Des transports routiers et ferroviaires de matières hautement radioactives transitent sur notre territoire (lignes de banlieue  de la région parisienne)…

-EDF et Orano sont dans des endettements abyssaux.

Qu’arriverait-il dans notre région en cas d’accident majeur ? Un nuage radioactif ne se voit pas, ni ne se sent. Nous aurions besoin d’une information rapide, indépendante et sérieuse pour ne pas revivre le coup du nuage de Tchernobyl qui s’était, soit-disant, arrêté à la frontière.

Peut-on ne faire confiance qu'aux autorités gouvernementales ?

Nous pensons qu’avoir une source d’information indépendante et une vigilance citoyenne est indispensable en démocratie. C’est l’objet de ce premier projet.  

Rejoignez-nous! En adhérent pour 10€ à l’association et en faisant un don (66% déductibles des impôts) pour faire partie des lanceurs d'alerte 
 

Nucléaire Je Balise

3, rue du stade

78480 Verneuil sur Seine

https://nucleaire-je-balise.org

[email protected]

Facebook : nucléaire je balise

Origine du projet

L'origine du projet est venu d'un citoyen francilien qui pour supporter un évènement douloureux familial, s'est investi dans ce projet qui a du sens, en créant l'association avec d'autres citoyens.
 

A quoi servira l'argent collecté ?

Au fonctionnement de la sonde en continu 24h/24, 365j/365, entretien, révision, astreinte compris.
 

Notre équipe

Notre équipe est composée de citoyennes, citoyens franciliens, qui ont adhéré à ce projet. Une telle sonde sera une première en Île-de-France. L'association avec ses soutiens, pourrait devenir lanceur d'alerte. La gestion régalienne a été déficiente à tout point de vue au moment de Tchernobyl, comme souvent pour les crises inédites : Lubrizol, le plomb de Notre-Dame, La COVID... Nous ne pouvons donc pas nous en remettre entièrement à l’État. Prenons ensemble les moyens d'être mieux informés.