Concerts de Vincent Epplay et Sister Iodine
by Association Circulaire - Jeanne Barret
On 03 juin 2023, from 21hVINCENT EPPLAY
Vincent Epplay fluctue depuis une vingtaine d’années dans une interzone autour de la notion de rémanence des spectres qui hantent l’inconscient collectif. Il réalise des films aux titres énigmatiques tels que Community Temple, Mnémotechnie, Xénoglossie Radio, Le Club des Animistes, Atelier des sons & expressions spontanées – films présentés soit dans le cadre d’installations soit rejoués en live en solo, ou encore avec des musiciens invités pour l’occasion. Sa musique a été éditée par différents labels : Blackest Ever Black, Klang Galerie, Akuphone, Art Kill Art, Bells Angels, Art de Rien. Il joue régulièrement en trio avec Jac Berrocal et Timo Van Luck, et continue d’accumuler des disques sans musique, des films 8 mn de méthodes, des enregistrements ou documents sans qualité d’auteur avérée. Il co-anime occasionnellement à l’émission Epsilonia sur Radio Libertaire. Pour sa venue à Jeanne Barret, il jouera quelques vieilles rengaines bruitistes sur des airs de musiques industrielles à l’aide de machines analogiques, boîtes à effets et autres ustensiles percussifs en ouverture de bal.
https://vimeo.com/user15388046
https://www.youtube.com/channel/UCM3a7l1WD5XMgu-PehrEXSw
https://www.facebook.com/vincent.epplay
--
SISTER IODINE
Lionel Fernandez guitare, Erik Minkkinen guitare, voix et Nico Mazet batterie, électroniques
Franc-tireur et tête chercheuse de la scène noise française, le trio a développé une formule unique à la croisée des genres et des poisons, où à coup de guitares et de batterie lacérées, le groupe cherche comme une sorte de confusion terminale entre rock et chaos.
Formé en 1992 (circa), on devine que ces trois activistes des marges sonores les plus extrêmes, ont dû affiner leurs gammes via des chocs bruitistes tels que Keiji Haino ou Borbetomagus, artistes phares qui se produisaient alors aux EPE à Paris, temple mythique des franges expérimentales (musique, cinéma...).
En 7 albums (bientôt 8), le groupe est largement reconnu pour sa noirceur sauvage toujours plus acide, déployée dans une formule unique, entre fureur no-wave, bruits bruts, électroniques abrasifs, et poison venu du Black Metal originel.
8e album (toujours sur Nashazphone), recouvert d’une fine couche de ce vernis délicieusement toxique, que l’on célèbre ce soir.
Secure payment
5 Boulevard de sevigne
13015 Marseille
France
Contact the association: