Association Freelens

Arts et culture

Les questions de l’existence, du sens et de l’évolution de l’image photographique dans toutes ses écritures ont toujours été au cœur des démarches et des réflexions de l’association Freelens depuis sa création. Freelens est reconnue d'utilité publique par le conseil d'État depuis mai 2011.

Nos actions en cours

Qui sommes-nous ?

Depuis la création de l'association Freelens en 1962, les questions de l’existence, du sens et de l’évolution de l’image photographique ont toujours été au cœur des démarches et des réflexions de l’association Freelens. Elle est la première organisation professionnelle regroupant les grand·e·s acteur·trice·s du photojournalisme, de la photographie sociale, du documentaire, ainsi que certain·e·s photographes humanistes et cinéastes avec d'illustres noms à sa tête tels que Robert Doisneau.

Freelens s’est tournée, dès que l'association a été reconnue d'utilité publique par le conseil d'État en mai 2011, vers la photographie dans son ensemble s’ouvrant ainsi aux publics et aux écritures les plus diverses.

En créant un espace d’échange et de réflexion entre les chercheur·se·s, les penseur·se·s, les enseignant·e·s, les professionnel·le·s de l’image et le grand public, Freelens œuvre aujourd’hui pour le rayonnement de la photographie, de ses nouvelles représentations et de son information visuelle. Elle agit comme un laboratoire de réflexion, d’accompagnement, de valorisation et de transmission des patrimoines et des savoirs.

L’association Freelens  a pour but d'établir et fait prévaloir, au sein du grand public, de la profession et de ses utilisateur·rice·s, une éthique et une déontologie de la photographie.

Freelens promeut les nouvelles pratiques liées à l’image photographique, quels que soient ses supports, ses formats, ses écritures ou les autres médiums qu’elle traverse ou transverse.

Freelens assure un bon usage de l’image photographiqueainsi que la préservation de la dimension artistique et / ou informative de la discipline.

Freelens entend, dans cette perspective, poursuivre une activité:

de promotion de la création artistique et plasticienne autour de l’image, tant du côté des auteur·e·s que de celui du public.

 – de sensibilisation de l’opinion publique aux problèmes de la photographie et de l’indépendance des photographes, créateur·rice·s ou journalistes.

 – de promotion du droit à l’information et de la libertéd’informer par l’image en particulier, en France et dans le monde et de lutte contre toutes les mesures de nature à restreindre la liberté de la création et des nouvelles représentations de l’image fixe ou animée.

 – de réflexions et de pédagogie au sein de la profession, du grand public et des enseignant·e·s et  universitaires afin d'avoir les outils nécessaires  pour décrypter les images et ainsi se soustraire aux manipulations.

 – d'organisation de rencontres et d'échanges entre responsables publics et privés, professionnel·le·s de l’image, chercheur·se·s et universitaires.

 – de collaboration, en toute indépendance, avec les institutions non gouvernementales ou gouvernementales qui œuvrent dans le même but et d'échange avec ses partenaires (associations, sociétés d'auteur·e·s, syndicats, agences photographiques, éditeur·trice·s, festivals, institutions et pouvoirs publics, centre de formations professionnels, écoles et universités).