Association Mémoire de l'Avenir

Arts et culture

Mémoire de l’avenir a pour vocation d’utiliser les arts, les sciences et les patrimoines culturels et naturels comme des outils de dialogue et d’apprentissage. Nous dirigeons le projet Humanities, Arts and Society avec l'implication de l'UNESCO-Most et du CIPSH.

Nos actions en cours

Qui sommes-nous ?

Mémoire de l’avenir a pour vocation d’utiliser les arts, les sciences et les patrimoines culturels et naturels comme des outils d’éducation et d’apprentissage. Son but est de transmettre, auprès de tous les publics, une meilleure compréhension de soi, des autres et du monde, dans un dialogue participatif respectueux des différences à la lumière de ce qui nous unit, et pour un meilleur vivre ensemble.

Origines et motivations :

Engagée dans la lutte contre les discriminations et persuadée que l’art et la culture peuvent apporter une meilleure connaissance de soi, des autres et du monde pour l’épanouissement de chacun, Margalit Berriet, après un temps de recherche et d’expérimentation, a fondé l’association Mémoire de l’Avenir en 2003.

Il s’agissait de développer un programme d’actions au cours duquel chacun pourrait libérer ses émotions oralement et artistiquement, ambitionner d’éveiller la curiosité au profit d’une connaissance sensible et favoriser un mode de communication transversal, qui soit à la fois constructif et créatif. 

L’ambition était de développer pour cela une méthode originale qui se fonde sur l’identification des éléments culturels universels, à partir desquels les divergences, convergences, apports mutuels et modes de diffusion seraient étudiés. Dans cette perspective, de nombreuses années de recherches et d’expérimentations de terrain ont été dédiées à la question du symbole, desquelles une méthode pédagogique unique, ainsi qu’un ouvrage (Du dessin au symbole, une grammaire pour l’Humanité, 2010) ont notamment abouti. 

Pour les anciens Grecs, le « symbole » était un signe de reconnaissance, à l’origine, un simple objet coupé en deux dont deux hôtes conservaient chacun une moitié qu’ils transmettaient à leurs enfants. Ces deux parties rapprochées servaient à faire reconnaître les porteurs et à prouver que des relations d’hospitalité avaient été contractées antérieurement. L’étymologie du terme évoque l’idée de rencontre, ou encore de reconnaissance, entre les hommes et les cultures. Tels sont les objectifs de Mémoire de l’Avenir.

Domaine d’intervention et public concerné : 

Mémoire de l’avenir a pour vocation d’utiliser les arts, les sciences et les patrimoines culturels et naturels comme des outils d’éducation et d’apprentissage. Elle favorise une approche pluridisciplinaire pour traiter des thèmes de société tels quel la citoyenneté, la diversité culturelle, l’égalité, la liberté d’expression, la lutte contre les discriminations, l’écologie et le développement durabe, tout en valorisant l’estime et le développement de soi, des autres du monde dans un dialogue respectueux des différences et pour un meilleur vivre ensemble. 

Mémoire de l’avenir développe plusieurs pôles : Les manifestations artistiques (expositions, événements culturels), les actions pédagogiques (ateliers, médiations et formations), ainsi que le projet Humanities, Arts and Society (revue semestrielle trilingue, plateforme interactive, programme d’événements publics) en association avec l’UNESCO-MOST et le CIPSH. Nos actions se déploient d’une échelle locale jusqu’à une échelle internationale.

Nous intervenons auprès de tous publics, avec une spécialisation pour les publics du champ social. Scolaires, jeunes adultes et adultes précaires en insertion professionnelle, mineurs non accompagnés en centre d’accueil d’urgence, détenus, migrants, personnes en apprentissage de la langue française (FLE), familles, etc. 

Chaque année nous réalisons :

Une quinzaine d’ateliers en milieu scolaire, dans les centres pénitentiaires, dans les centres sociaux, dans les centres d’accueil des migrants. (environ 300 bénéficiaires)

Une quinzaine de parcours autour du patrimoine culturel et naturel.  (environ 400 bénéficiaires)

Une dizaine d’expositions accompagnées d’événements satellites (rencontres, concerts, performances, projection) (1500 visiteurs)

Avec l’UNESCO-Most et le CIPSH (conseil international de la philosophie et des sciences humaines), dans le cadre du projet HAS (Humanities, Arts and Society) la publication d’une revue trilingue bi-annuelle, le développement d’une plateforme interactive et d’un programme d’événements publics autour de l’impact des arts et des sciences humaines dans les transformations sociales.