Cap-O-Cap

Humanitaire - Caritative

Cap-O-Cap crée des liens solidaires entre les habitants des townships de la ville du Cap, en Afrique du Sud, et le reste du monde, principalement la France.

Nos actions en cours

Nous sommes actuellement en train de mettre en place nos prochaines initiatives. Revenez bientôt pour ne rien manquer !

Qui sommes-nous ?

Cap-O-Cap est une petite association née en 2015, à Pézenas, dans le sud de la France mais qui se veut ouverte au monde et qui compte en 2021 quelques dizaines d’adhérents.

Cap-O-Cap est surtout un pont gigantesque de 10,000 kms qui nous unit à Khayelitsha, un « township », une zone créée au temps de l’apartheid sur des critères de ségrégation raciale et ethnique, de la ville du Cap en Afrique du Sud.

NOS VALEURS 

Nos actions sont basées sur 3 piliers indissociables :

RENCONTRES

Cap-O-Cap est née en 2015, d'un désir de faire perdurer les rencontres initiées lors d’un voyage touristique et d’en initier de nouvelles. Nos premières actions ont consisté à aller à la rencontre d’habitantes et d’habitants des townships, à partager leur quotidien et à ramener leurs témoignages de vie. Ces témoignages nous ont permis d’éditer 1 livre, puis 2,3 4 pour faire connaître celles et ceux que nous avons rencontrés et inciter chacun à faire de même tout en commençant à récolter des fonds. De nouvelles rencontres, en France et en Afrique du Sud, nous ont permis de grandir et de nous diversifier.

CULTURE

Cap-O-Cap se veut une fenêtre sur la culture et le mode de vie des habitants des townships sud-africains. Outre les témoignages rapportés, nous faisons connaître leur artisanat, leur cuisine, leur musique, leur culture en général, au gré de nos différentes rencontres.

En France, nos actions peuvent prendre la forme d’expositions, de conférences, d’interventions en milieu scolaires…Certaines de nos actions sont réalisées par des partenariats : une troupe de théâtre, un groupe d’étudiants architectes, d'autres associations.

SOLIDARITÉ 

Les habitants et habitantes de Khayelitsha ont déjà tout pour réussir : les idées, l’énergie, la volonté, les compétences…il ne leur manque que les moyens financiers pour les mettre en œuvre car si l’apartheid racial a été supprimé, l’apartheid social n’a pas disparu.

Cap-O-Cap récolte des fonds grâce à ses différentes actions. Chaque année, nous retournons sur place pour utiliser ces fonds En principe nous partons sans avoir déterminé quelle en sera l’utilisation car ce choix appartient toujours aux personnes que nous rencontrons et à qui nous proposons notre aide, en fonction des moyens dont nous disposons.

 

LEURS PROJETS 

 

Maydeline a créé un atelier de couture, à la Lookout Hill de Khayelitsha, afin de réinsérer, former et donner du travail à des femmes qui n’en n’avaient pas. Nous leur avons acheté une tablette, un centrale vapeur et une machine à coudre pour qu’elle puisse développer son activité.

 

 

Victor et Eric ont fondé l’école de cuisine Eziko dans le township voisin de Langa, qui permet à des jeunes d’apprendre un métier et de trouver un emploi. Nous leur avons acheté du matériel informatique et sponsorisé les coûts de scolarité d’une étudiante qui n’en avait pas les moyens.

 

Nolitha a créé l’association Sinethemba, dans le quartier d’Harare, pour aider sa communauté et notamment des femmes séropositives avec un jardin communautaire qui leur offre des légumes mais aussi un cadre de vie. Elle accueillait également leurs enfants dans une crèche informelle mais comme, elle n’était pas aux normes, elle a dû la fermer.  Nous avons financé la construction d’un bâtiment qui lui permet d’accueillir officiellement les enfants et de recruter des enseignants payés par l’état.

 

Virginia et Oliver sont une famille pour de nombreux enfants grâce à leur orphelinat familial Bathandwa dans le quartier de Mandela Park. Nous avons effectué des réparations et acheté des équipements dans un bâtiment annexe qu’ils peuvent louer pour un complément de revenus.

 

 

Les artisans d’Iqhayiya ont choisi d’ouvrir leur boutique au cœur de Khayelitsha, dans le quartier d’Harare, même si ce n’est pas le lieu le plus touristique et que les clients se font souvent rares. Nous les aidons en achetant leurs créations dont la revente nous permet de financer d’autres projets.

 

 

Les Khayelitsha Peacemakers ont choisi d'inspirer les autres avec leurs voix, en chantant lors d'événements ou dans la rue pour ainsi  faire vivre leur culture et leur langue. Nous avons fait imprimer des T-shirts à leur nom.

 

 

 

Loyiso a créé une agence de voyage à la Lookout Hill, pour faire connaître ses habitants au monde grâce à un tour pédestre mais aussi permettre aux habitants de voyager et de connaître le monde, en plus d’être très impliqué dans de nombreux projets solidaires. Nous avons édité des flyers pour le faire connaître et participé à sa campagne de plantation d’arbres dans Khayelitsha.

 

Thusile, dit Herman the German bien qu’il soit Xhosa, après une carrière de chef dans des hôtels 4 étoiles, a choisi de revenir dans son township pour ouvrir un restaurant, le Village House à Kuyasa et montrer qu’on peut bien manger même au cœur d’un bidonville. Nous avons aidé à financer son projet d’association pour nourrir les enfants du quartier.

 

Bukeka enseigne au Lycée Joe Slovo de Khayelitsha. Nous avons acheté des livres pour le club de lecture et initié des échanges avec le lycée Jean Moulin de Pézenas.

 

 

 

 

Wongama s’est donné pour vocation d’initier les habitants de Khayelitsha au café, tout en offrant un lieu de rencontre en ouvrant le café Department of Coffee. Nous l’avons subventionné afin qu’il puisse relancer son affaire après avoir été victime de vandalisme.

 

 

Siya enseigne au Lycée Uxolo, et anime la vie lycéenne. Cette nouvelle rencontre nous offre la possibilité de construire de nouveaux échanges. Qui sait ce que l'avenir nous réservera de beau ?