Covalentia
Humanitaire - CaritativeContactez nous pour faire de la multiplicité des acteurs locaux un atout durable!
Nos actions en cours
Qui sommes-nous ?
L'association Covalentia a pour objectif :
- De promouvoir le « renforcement des réseaux » économiques, environnementaux, sociaux et solidaires des territoires français, pour valoriser les leviers essentiels de l’aide humanitaire et du développement :
o Réseaux économiques : valoriser l’économie circulaire et l’entreprenariat social comme levier de lutte contre la pauvreté économique et la dégradation des conditions de vies ;
o Réseaux environnementaux : la défense de l’environnement naturel et des services écosystémiques associés et du principe de développement soutenable comme levier de lutte contre la pauvreté écologique et la dégradation du bien commun environnemental ;
o Réseaux sociaux : valoriser les réseaux sociaux physiques et dématérialisés comme levier de diagnostic territorial et d’implication sociétale dans la lutte contre les pauvretés culturelle, familiale et sociale ;
o Réseaux solidaires : valoriser les actions de l’ensemble des acteurs du secteur des solidarités et de l’humanitaire, comme levier de lutte contre le recul de l’altruisme et comme soutien aux valeurs citoyennes d’entraide et d’équité.
- D’accompagner les acteurs locaux du développement économique, environnemental, social et solidaire, par une stratégie de « renforcement des interactions » :
o entre bénéficiaires, par la formulation et la formalisation de leurs besoins, via la mise en œuvre de diagnostics territoriaux et de cartographies sociales participatifs ;
o entre bénéficiaires et acteurs, par la valorisation de systèmes de communication physiques ou dématérialisés et la mise à disposition réciproque d’information ;
o entre acteurs, par la mise en œuvre de plateforme multi-acteurs et le dialogue pour une coordination institutionnelle, logistique, spatiale et temporelle des activités à mener.
- De renforcer la durabilité de ces stratégies de renforcement des « réseaux et des interactions » en intégrant ces activités de coordination avec les « instances étatiques, les administrations déconcentrées et les collectivités territoriales », en raison de leur pérennité et pour leur immuable prévalence de l’intérêt général, du bien commun et du bien public, et dans le respect des droits de l’homme.