


CRAASH - Collectif de Recherche Action en Audiovisuel et en Sciences Humaines
Arts et cultureL’association CRAASH est née en 2014 de l’envie de co-construire et de partager des connaissances issues des sciences humaines (sociologie, anthropologie, sciences politiques, histoire) à la fois dans une démarche d’éducation populaire et par l’usage des outils audiovisuels.
Nos actions en cours
Qui sommes-nous ?
Comment est née l’association CRAASH ?
L’association CRAASH est née en 2014 de l’envie de co-construire et de partager des connaissances issues des sciences humaines (sociologie, anthropologie, sciences politiques, histoire) à la fois dans une démarche d’éducation populaire et par l’usage des outils audiovisuels. Elle rassemble alors un petit groupe de copaines en région Lyonnaise qui s’entreprend à faire des porteurs des paroles, des vidéos, des scénettes de théâtre forum, des événements-débat sur des questions portant par exemple sur « la norme », « la désobéissance »…
Quelles activités propose-t-elle et qui sont ses membres ?
Aujourd’hui nous proposons essentiellement des formes « nouvelles » de partage de connaissance ou de documentaire, en mêlant par exemple réalisation sonore et art numérique par des dispositifs interactifs comme l’installation « De l’Autre côté ». Nous participons aussi à des actions d’éducation aux médias, par des ateliers et des séjours radios auprès des jeunes et soutenons parfois des projets plus larges comme une enquête ethnologique en Casamance (Sénégal) à propos des « retours de migration » en 2021. L’association rassemble à la fois des personnes issues des sciences humaines, de l’éducation populaire et de la réalisation sonore et audiovisuelle.
Sa démarche se rapproche-t-elle de la recherche-action ?
C’est en tout cas notre intention depuis la création de l’association. La plupart d’entre nous terminaient un master ou une thèse en anthropologie, en sociologie, en sciences politiques ou en histoire en ayant conscience de la richesse de ces disciplines et des savoirs qui en sont issus mais avec le sentiment qu’ils demeuraient cloisonnés au monde universitaire. L’idée était alors de sortir ces questionnement hors des murs, notamment dans l’espace public, tout en réfléchissant à la manière dont ils peuvent parvenir à mobiliser et/ou à agir sur notre réalité: par le partage de savoirs, l’intelligence collective, une prise de recul sur des situations à résoudre ou encore par un travail de conscientisation (par exemple des rapports de domination).