Le taux de mortalité infantile est de 50 enfants pour 1000 naissances en 2014, et celui des mères à l’accouchement est de 320 pour 100 000 naissances.
Le taux d’enfants de moins de 5 ans souffrant d’insuffisance pondérale est équivalent à 16,8 % en 2013.
Les maladies infectieuses représentent un risque très élevé pour la population : le climat favorise la dengue, le paludisme et la fièvre jaune ; les maladies diarrhéiques, l’hépatite A et la fièvre typhoïde transmises par l’eau, la nourriture ou l’environnement sont également très fréquentes.
Le nombre de médecins est très faible : 0,1 médecin pour 1000 habitants.
A titre de comparaison, en France, ce chiffre est de 3,5.
Les dépenses du gouvernement en matière de santé sont insuffisantes (4,2 % du PIB en 2013).
Malgré une sensible amélioration, il y a encore 40% de la population en milieu rural n’ayant pas accès à une quantité raisonnable d’eau provenant d’une source d’eau améliorée contre 7% en milieu urbain.
52% de la population a accès aux installations sanitaires améliorées.
Ceci constitue un frein à l’amélioration de la situation sanitaire du pays.
Santé publique
Le taux de mortalité infantile est de 50 enfants pour 1000 naissances en 2014, et celui des mères à l’accouchement est de 320 pour 100 000 naissances.
Le taux d’enfants de moins de 5 ans souffrant d’insuffisance pondérale est équivalent à 16,8 % en 2013.
Les maladies infectieuses représentent un risque très élevé pour la population : le climat favorise la dengue, le paludisme et la fièvre jaune ; les maladies diarrhéiques, l’hépatite A et la fièvre typhoïde transmises par l’eau, la nourriture ou l’environnement sont également très fréquentes.
Le nombre de médecins est très faible : 0,1 médecin pour 1000 habitants.
A titre de comparaison, en France, ce chiffre est de 3,5.
Les dépenses du gouvernement en matière de santé sont insuffisantes (4,2 % du PIB en 2013).
Malgré une sensible amélioration, il y a encore 40% de la population en milieu rural n’ayant pas accès à une quantité raisonnable d’eau provenant d’une source d’eau améliorée contre 7% en milieu urbain.
52% de la population a accès aux installations sanitaires améliorées.
Ceci constitue un frein à l’amélioration de la situation sanitaire du pays.
Économie
Le Sénégal est la deuxième économie en Afrique de l’ouest francophone derrière la Côte d’Ivoire.
30% de la population vit en dessous du seuil international de pauvreté (1,25 dollar par jour).
Les problématiques liées à l’emploi, au coût de la vie, à la qualité des services publics, à l’approvisionnement en eau, ainsi qu’à la fourniture et au coût de l’électricité sont les préoccupations premières du gouvernement.
Le secteur primaire (15% du PIB, 50% de la population active) demeure particulièrement exposé aux aléas climatiques et à la volatilité des cours mondiaux des matières premières.
Le secteur secondaire (21% du PIB) repose essentiellement sur les mines d’or, les phosphates, le ciment, l’agroalimentaire et le BTP.
Les activités tertiaires (64% du PIB, service public inclus pour 20%) restent fortement dominées par le secteur informel. Le tourisme connaît un ralentissement récent.
Le Sénégal vient d’adopter une nouvelle stratégie nationale en matière de développement économique et social, le Plan Sénégal Emergent (PSE) à l’horizon 2035.
Il place dorénavant le secteur privé au coeur du processus de création de richesse et d’emplois.
Sur le plan financier, le Sénégal reste dépendant de l’aide extérieure (dons et prêts concessionnels) qui assure 20% de l’ensemble des dépenses inscrites au budget.
Au niveau de la conjoncture économique, avec une activité plus équilibrée entre les différents secteurs, le Sénégal a vu sa croissance économique progresser de + 4% en 2013.
Cependant, d’un point de vue du développement humain, il reste de nombreux défis sociaux à relever au Sénégal, notamment en termes de pauvreté, d’inégalités, de nutrition et de santé infantile et maternelle.