Dynam'eau

Des projets internationaux dans des écoles rurales en Afrique pour l’accès à l’eau et aux toilettes sont réalisés dans une démarche intégrée.

15 ans déjà et de grands projets ont vus le jour !

L'eau, le meilleur ami de la santé !

« Construction d’un puits et d’un bloc sanitaire pour l’école marocaine de Chograne. »

Ce projet était localisé à l’école publique de Chograne au Maroc. L’objectif de celui-ci fut de répondre aux problèmes d’hygiène sur le site, mais aussi de donner l’opportunité aux filles, d’aller à l’école. Deux causes y étaient liées : le fort taux d’absentéisme dû au manque d’équipement sanitaire et aux corvées domestiques comme aller chercher de l’eau au puits le plus proche. Les travaux furent engagés en 2014.

 

L'eau : Irriguer l'éducation !

« Un projet d’alimentation en eau potable : 1000 élèves et 30 enseignants,  ainsi qu’une formation  à l’hygiène et à la santé. »

Ce projet est localisé à Lara Ranou et Chatouane au Maroc. Les écoles publiques de Lara Ranou et Chatouane accueillent environ 1000 élèves et sont dépourvues d'eau potable et n'ont pas de bloc sanitaire. L’association marocaine Anwar a contacté l’association Dynam’eau pour l'accès à l'eau potable dans ces établissements scolaires pour la réalisation de deux puits et la construction d'un bloc sanitaire dans chaque école. Les écoles des deux villages cibles sont touchées de plein fouet par le déficit d’infrastructure et l’absence d’équipements sanitaires. Les travaux vont être engagés en 2016.

 

Eau et assainissement.

« Construction d’un forage et installation de latrines sèches compostables pour les écoles primaires des villages de Tankomonte et Boulkougue. »

Ce projet est localisé dans la région des Savanes au Togo, avec l’aide de l’ONG Togolaise OREPSA. Actuellement, la population locale n’a pas d’autre moyen de trouver de l’eau potable que dans des mares du village, partagées avec du bétail. Le but est d’alimenter en eau potable les deux écoles primaires de la région. C’est par cette construction commune que la population locale s’investit dans ce projet. Une participation active à la construction des blocs latrines et de la gestion de l’eau, par exemple, est indispensable pour conduire les habitants à devenir autonomes quant à la pérennisation des nouvelles installations. Les travaux ont été engagés en 2015 et poursuivis en 2016.