Projet de court métrage : Impact de la maltraitance sur le cerveau des enfants
by Et si nous en parlions
L’objectif de cette campagne est de nous aider à terminer le montage du film pour une sortie le 8 mars 2025 à l'occasion de la journée internationale du droit des femmes
Depuis le 24 octobre vos dons vous donneront droit à une déduction fiscale pour l'année 2024 à hauteur de 66% si vous êtes un particulier ou 60% si vous êtes une entreprise (dans la limite de 5/000 de votre chiffre d'affaires)
Nous avons pu tourner le film durant 11 jours du mois de juillet
L'équipe de jeunes professionnels engagée pour ce projet d'ampleur a accepté le bénévolat avec une générosité sans faille
Les professionnels de la location de matériel de cinéma nous ont également soutenus en nous proposant du matériel de grande qualité à des prix extrêmement réduits
Nous avons pu louer des décors qui contribuent à l'esthétisme indispensable pour ce court métrage.
Nous avons pu enfin nourrir défrayer et soutenir l'équipe pendant 11 jours et surtout notre jeune comédienne
Camille Malafosse 7 ans qui a été extraordinaire…
Nous venons de terminer la bande annonce dont nous avons ajouté le lien à cette page
L'étalonnage couleur du film est presque terminé. Le mixage son est en cours.
Nous avons contacté une audio descriptrice professionnelle pour permettre l'accès du film aux déficients visuels
nous sommes toujours à la recherche d'une possibilité de sous titrer pour les sourds et malentendants malheureusement cela semble plus difficile et surtout coûte très cher
Dans à peine plus d'un mois ce sera l'avant première dans l'auditorium du Kiasma de Castelnau-le-Lez le 8 mars prochain (lors de la journée international du droit des femmes)
Cette diffusion sera suivi d'un échange /débat en présence d'un plateau d'invités de marque
Catherine Belzung directrice l'Unité Inserm 1253 Imagerie, Cerveau et Neuropsychiatrie et fondatrice de la chaire UNESCO “ maltraitance infantile”
Deux experts psychiatres de Justice : Jean Claude Pénochet (Montpellier ) et Grégory Monnier (Uzès)
Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik
Le débat sera filmé et monté par les équipes du film pour nous permettre de faire voyager et diffuser l'ensemble du message le plus loin et le plus longtemps possible pour sensibiliser et faire changer le monde!
Nous avons des pistes de diffusions auprès de professionnels psychiatres nous espérons en trouver auprès de tous ceux qui s'occupent des enfants et pourquoi pas auprès des magistrat et de tous les services de l'aide à l'enfance.
Nous tâcherons également ensuite de concourir auprès des festivals de court métrage avec pour objectif de rendre visible notre objectif et qui sait peut-être d(obtenir une diffusion nationale.
“ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles” Sénèque
C'est pourquoi Votre soutien nous est extrêmement précieux!

Le film évoque les liens entre ce qui se passe dans le cerveau d'un enfant qui vit des maltraitances physiques ET psychologiques et les conséquences cognitives, affectives et relationnelles qui en découlent. Le film explore aussi des pistes de reconstruction possibles.
Le film, inspiré de faits réels, s'intitule “ Une vie après ? ”
Pitch :
Mira, une petite fille d’aujourd’hui, dans une famille sans problème, subit des brimades et des mauvais traitements qui lui font peu à peu perdre ses capacités jusqu’au jour où c’est l’accident ! Ce sera peut-être le début de sa reconstruction.
L'ambition artistique du film est essentielle. Le film doit toucher le public, non pas de manière explicative et raisonnée, mais par les cinq sens du spectateur, en sollicitant ses neurones miroirs.
L'objectif du film est de sensibiliser tout public sur cet enjeu majeur, afin qu'une prise de conscience collective amène à la disparition des violences éducatives et de la maltraitance. La même prise de conscience émerge, aujourd'hui sur le syndrome du “ bébé secoué “. Selon les experts ”psy” de justice, plus de 90 % des actes de délinquance avec violence sont commis par des personnes ayant vécu des situations de maltraitance dans l'enfance.
L’objectif subséquent serait la création de maisons des mille premiers jours, dans la métropole de Montpellier et la région Occitanie. Il faut accompagner les parents à devenir parent.
À l'issue du court-métrage, deux interviews :
Catherine BELZUNG, Directrice de recherche à l'INSERM de TOURS, unité 1253 imagerie et cerveau, Directrice de la chaire UNESCO sur la maltraitance infantile, créée en 2022.
Quelles sont les dernières découvertes sur les modifications du cerveau après des maltraitances ?

https://unescochair-children-maltreatment.univ-tours.fr/version-francaise
Boris CYRULNIK, Neuropsychiatre
En quoi consiste la résilience et comment éviter les maltraitances ?

Réalisation :
La majeure partie des équipes sera locale (comédiens et technique),
Nous espérons un tournage entre juin et septembre 2024.
Nous tournerons dans la région de Montpellier.
Les comédiens pressentis sont :
Mira : Camille MALAFOSSE

La mère : Laura CHARPENTIER

Le père : Guillaume LOUBLIER

Les amis :
Laura : Laure LEGAL

Ben : Yunus KENTEL

Guillaume : Yannick DIMONT

Clara : Marie-Ange CHAPEL

La nounou : Béatrice PAGIE

La magistrate Juge pour enfants : Marine HELE BOCOGNANO

Mme Patrillaud : Service de l'ASE (aide sociale à l'enfance)
en attente de confirmation
Bastien : Marius BOCOGNANO

Nous organiserons un casting, dans la région de Montpellier, en début d'année, pour rencontrer notre petite Mira. Agée de 6 à 7 ans (elle devra avoir perdu ces deux petites incisives du haut pour le début du tournage) elle sera vive, spontanée et gaie malgré ce qu'elle vit car les enfants cachent ce qui leur arrive et protègent toujours leurs parents.
Enfin, la musique sera un véritable personnage du film car “ tuteur de résilience ” pour Mira.
La compositrice : Marion GRAND

Un proverbe Africain que m'a rappelé le docteur Cyrulnik prend tout son sens, dans cette aventure que nous espérons porter loin :
“ Il faut tout un village pour élever un enfant”.
Ce film sera donc diffusé, nous l'espérons, dans tous les lieux où il pourra permettre d'expliquer, de débattre de libérer la parole de nos enfants.
Description of expenditure items
Postes de dépenses :
- Les acteurs besoins spécifiques pour les enfants cf supra
- Equipe technique
- Cascades ou remplacements
- Décors
- Costumes
- Accessoires
- Maquillage et coiffure
- Effets spéciaux
- Bruitages et orchestration
- Montage
Final beneficiaries of the collection
Les sommes collectées permettront, en priorité, de financer tout ce qui sera nécessaire aux enfants sur le tournage : coach, nounou, professeur particulier si le tournage a lieu pendant la période scolaire, costumes, maquillage, coiffage, accessoires spéciaux, doublure lumière, doublure cascades, repas et hébergement (si les enfants habitent trop loin pour rentrer chez eux entre les journées de tournage).
Si les fonds récoltés étaient supérieurs à ce qui est nécessaire pour les enfants, ils serviraient :
- aux décors, notamment la location de la maison,
- à la réalisation des effets spéciaux et animations nécessaires pour montrer ce qui se passe dans le cerveau de Mira quand elle est bousculée ou malmenée,
- aux bruitages et à l'orchestration…
et à tous les autres postes de la réalisation.
Carriers of the project
Association “ Et si nous en parlions ? ”, association loi 1901.
Association montpelliéraine de jeunes professionnels du cinéma The Dolly studio
Location of the project
FranceDon
les remerciements de l'association sur une photo dédicacé de l'équipe
20€
Don
une photo du tournage
50€
Don
une affiche dédicacée du film
100€
Don
une invitation à la première du film
200€
Don - Starting at 500€
une invitation à une journée de tournage
DON - Starting at 1000€
Votre nom au générique du film
Don
les remerciements personnalisés de l'association
5€
Don
Les remerciements personnalisés de l'association
10€
About the organization
sensibilisation aux enjeux majeurs de société, tels entre autre la santé, l’éducation, la solidarité, la protection de l’enfance, la protection de l'environnement, le partage de la culture et des connaissances, dans une démarche d’éducation populaire et de bienveillance, ainsi que toute activité en rapport ou conséquente à l’objet sus désigné et ce par tout moyen
Tax information
The donation to Et si nous en parlions is eligible for a tax reduction because it meets the general conditions set forth in Articles 200 and 238 bis of the General Tax Code.
Individual
Particulier : vous pouvez bénéficier d'une réduction d'impôt égale à 66 % du montant de votre don, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Organization / Company
Entreprise : l’ensemble des versements à Et si nous en parlions permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur les sociétés de 60 % du montant de ces versements, plafonnée à 20 000 € ou 5 ‰ (5 pour mille) du chiffre d'affaires annuel hors taxe de l’entreprise. En cas de dépassement de plafond, l'excédent est reportable sur les 5 exercices suivants.
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