
Fondation Hospitalière pour la Recherche sur la Précarité et l'Exclusion sociale
Médico-socialeLa Fondation favorise le développement de recherches-actions sur la pauvreté et l’exclusion sociale, par le financement de programmes de recherche pluridisciplinaire, avec pour objectif de passer de la réflexion à l’action, via l’expérimentation et l’évaluation conjointe de solutions innovantes.
Nos actions en cours
Qui sommes-nous ?
Alors qu’inégalités de santé et difficultés d’accès aux soins se font de plus en plus critiques, le Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre, acteur historique dans l’approche sanitaire et sociale des populations précaires et exclues, a souhaité aller plus loin avec la création, par décret (16/12/2019) du Premier Ministre et du Ministre des Solidarités et de la Santé, de la Fondation Hospitalière pour la Recherche sur la Précarité et l’Exclusion sociale.
La Fondation a été créée pour répondre à l’enjeu commun aux acteurs œuvrant dans le champ de la précarité : documenter et analyser les trajectoires de vie et les expériences des personnes en situation de précarité, mais surtout innover, proposer des dispositifs adaptés et les évaluer, pour faire évoluer la connaissance et les pratiques.
La Fondation permet le développement de recherches-actions sur la pauvreté, l’exclusion sociale, la santé mentale, le vieillissement ou le handicap, avec pour objectif de passer de la réflexion à l’action.
La Fondation Hospitalière pour la Recherche sur la Précarité et l’Exclusion sociale fédère un réseau de chercheurs engagés sur les thématiques de l’exclusion, de la précarité et de la précarisation, phénomène amplifié par la crise sanitaire en cours. Elle construit également des partenariats avec les acteurs de terrain, hôpitaux, organismes de santé, associations, fondations, organisations publiques et structures privées.
- Soutenir et développer la recherche pluridisciplinaire sur tous les aspects de la précarité, en intégrant professionnels de terrain et chercheurs, sur des études évaluant des programmes qui pourront être généralisés, une fois leur impact démontré.
- Valoriser et diffuser les connaissances : faire connaître les bonnes pratiques validées par des travaux de recherche, contribuer à l'amélioration des indicateurs, face au constat partagé d'un manque de données sur certaines populations dites “invisibles”.
- Alerter les pouvoirs publics sur les problématiques nouvelles rencontrées par les populations précaires, inspirer de nouvelles approches.