Groupement d'Acteurs du Developpement Durable (GADD).

Humanitaire - Caritative

Nous agissons au Burkina Faso afin de proposer aux populations rurales notamment les femmes, notre démarche de developpement endogène comme alternative aux pratiques traditionnelles en améliorant l'accès à l'eau et la production de nourriture.

Nos actions en cours

Nous sommes actuellement en train de mettre en place nos prochaines initiatives. Revenez bientôt pour ne rien manquer !

Qui sommes-nous ?

Le Groupements d’Acteurs du développement Durable (GADD)  a pour objet  de mettre en œuvre des moyens visant à améliorer durablement la satisfaction des besoins élémentaires des membres des communautés villageoises du Burkina Faso. Pour ce faire, il installe des points d'accès permanents à l'eau,  pour les besoins en consommation de la population et pour la création de cultures maraichères pendant toute la saison sèche (Octobre à Juin).
  1. Les constats sur le terrain
  • l'éducation : la langue nationale, par exemple, 5% seulement  des burkinabés   parlent  français  en brousse. L’alphabétisation est d’abord faite dans les langues nationales mais il n’y a pratiquement pas d’écrits dans ces langues circulant  en dehors des villes.
  • l'oralité : la transmission orale n’est pas suffisante pour faciliter le développement. Des outils pour conserver la mémoire des activités sont indispensables.
  • la transmission : les communications sont très difficiles mais on note un nombre important de téléphones portables  jusque dans les villages reculés.
  • la tradition : Elle est très forte et les modifications nécessaires doivent être discutées longuement et acceptées par toute la communauté.
  • la nourriture : quelles sont les transformations acceptables pour améliorer la quantité de nourriture produite ?
  • la pérennisation : l’implication et l’appropriation des bénéficiaires locaux sont indispensables  pour que le Développement local au bénéfice des individus soit possible.

  2. Les actions du GADD  doivent impérativement respecter ces constats et  adapter toutes les propositions pour les rendre acceptables par l’ensemble des membres des communautés villageoises.
Cela se traduit concrètement par:
  • la mise en place d'un agrobusiness collectif au tour des cultures de contre-saisons, 

  • le développement de techniques d'alphabétisations au service de la formation,

  • la mise à leur porté les nouvelles technologies comme outils efficaces de formation et de développement.