KD DANSE
Arts et cultureKD Danse est une cie de danse contemporaine, exigeante et humaniste, puisqu’elle explore ; création après création ; ce qui lie et fait l’être humain.
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Qui sommes-nous ?
KD Danse est indissociable de sa chorégraphe Kirsten Debrock.
Kirsten Debrock est une chorégraphe américano-belge qui réside en France depuis vingt ans. C’est là, au coeur du Languedoc qu’elle a ancré son travail. Elle a d’abord signé des créations pour Intro Dans, le Ballet de Saragosse, Ballet Hagen, le Ballet Junior de Genève, L'Opéra de Nice ou encore l’Opéra de Metz avant de monter sa propre compagnie. Diplômée du conservatoire Royal de la Haye (Pays-Bas), Kirsten Debrock a d’abord mené une carrière internationale de danseuse avant de se diriger vers la recherche et l’écriture chorégraphique. Elle a dansé avec N.D.T.2, N.D.T1, le Basler Ballet et Scapino Ballet Rotterdam et a obtenu en 1983, le Grand Prix Dansers Fonds 79. En janvier 2006, elle fonde KD Danse, une compagnie volontairement située en milieu rural, dans l’Hérault (Sud de la France), afin de développer une exigence de création contemporaine, hors ville,hors public averti, hors chemin tout tracé. Dès son origine, le but de KD Danse a été de travailler avec une équipe technique et artistique à long terme, de creuser le sillon d’une écriture avec intégrité et sans compromis commerciaux.
Comment définir son écriture ? Contemporaine sans aucun doute, exigeante, humaniste, puisqu’elle explore création après création ce qui lie et fait l’humain. La solitude, le couple, le
temps, les rapports de domination, la superficialité des gestes, le silence et l’immobilité des coeurs. Kirsten Debrock creuse le sillon d’une danse contemporaine décomplexée, qui n’a pas besoin de l’aura des métropoles pour être et réunir les publics. Elle engage dans ce sens, de nombreux ateliers de création avec de multiples publics, personnes âgées, autistes, détenues femmes des maisons d’arrêt, mais aussi jeunes en échec scolaire ou milieux sociaux défavorisés. Pour elle, la danse contemporaine de doit plus être un privilège au XXIe siècle, mais un art vivant, populaire, exigeant, sans concession qui peu à peu s’apprécie, se partage et grandit au contact des autres, des rencontres.