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POUR QUE NAISSE L'OASIS DE DIGNITÉ DE LA REQUINQUADE, UNE FERME POUR ACCUEILLIR LES FEMMES VIOLENTÉES ET LES FEMMES SUIVIES POUR UN  CANCER «La violence n’est pas notre nature, mais l’expression de la violation de notre nature» Thomas d’Asembourg       Depuis maintenant quatre ans une petite équipe de bénévoles a élu domicile dans un joli verger situé en Isère, dans la vallée du Grésivaudan.  C'est une vallée magnifique, avec des chaînes de montagnes d'une beauté extraordinaire, et une terre d'une grande richesse.Anne-Marie, la grand-mère du jardin, racontait que le Grésivaudan était nommé il y a des siècles «le jardin d'abondance de la France». Les terres de la vallée sont aujourd'hui principalement soumises à la monoculture et à la bataille effrénée des promoteurs immobiliers. La terre agricole se vend également pour des projets de constructions industrielles (alors que grand nombre d’anciennes friches industrielles tombent en ruines), et la rivière Isère est polluée. L'industrie et l'agriculture intensives font du mal. Non pas l'industrie en soi ni l'agriculture en soi mais une certaine façon de faire de l'industrie et de faire de l'agriculture. Cela pollue et dégrade la terre, pollue les eaux, pollue l'air. Une des conséquences de ces pollutions est que de plus en plus de femmes qui sont traitées pour des cancers du sein au CHU de Grenoble ont en fait dans leurs cellules des résidus de pesticides et de produits chimiques utilisés dans les monocultures de maïs et dans les monocultures de noyers. La terre ici est abondante et fertile, mais l'être humain par ses pratiques désordonnées est en train de l'étouffer. Les femmes souffrent localement de cet état de fait, aussi bien dans leurs corps que dans leurs esprits. Elles sont souvent épuisées par leur travail, elles expérimentent le désarroi et toutes sortes de maladies liées à leur féminité - cancers, endométrioses, règles douloureuses, fatigues chroniques. Le stress, le manque de sens des activités quotidiennes soumises à la rentabilité, la pression sociale et la perte de liens ont également leur part dans cette souffrance. L'état des terres du Grésivaudan et l'état des femmes du Grésivaudan vont ensemble. Les femmes sont à la recherche de solidarités, d'autres sens à donner à leur vie. Une chanson créée dans les jardins pendant le premier confinement (copier/coller le lien):https://padlet-uploads.storage.googleapis.com/611796239/188c548711b2440a00ddbc40e4167ce0/chanson_pour_la_transition.mp3 Dans les vergers, nous œuvrons ensemble à la transmission d'outils utiles à une humanité pacifiée. Le lieu est actuellement partagé en trois: le verger, dans lequel l'association propose régulièrement des ateliers permettant d'interroger et de repenser le lien de l'être humain à la terre (vannerie, confection de nichoirs, danses circulaires, permaculture,...) ; les jardins partagés où une douzaine de familles de Pontcharra expérimentent une agriculture respectueuse de soi, de la nature et des autres ; la prairie qui va prochainement être mise en culture. C'est dans les vergers que prend peu à peu naissance la Requinquade, avec l'eénergie quotidienne et motivée des gens qui apportent leur aide et leurs bras. Aujourd'hui s'offre à nous la possibilité de racheter une ferme située non loin du lieu, dans un cadre protecteur. C'est l'occasion de créer un lieu d'accueil confortable pour les femmes qui ont besoin de se ressourcer ainsi qu'un espace de travail et d'activités pour la coopérative de femmes qui est en train de voir le jour. Notre but:pouvoir offrir un espace de ressourcement, de création et d'abondance nourricière, où chaque femme qui en a besoin peut venir se régénérer et renouer avec son essence, ce qui fait sens pour elle, et lui donne l'énergie de vivre et d'avancer.

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Un lieu d'accueil en agriculture sociale et thérapeutique, et un lieu de repos et de ressourcement


Une ferme d'accueil conviviale

Les jardins sont pensés et sentis comme des jardins de ressourcement, qui s'inspirent de l’expérience personnelle de Johanne, l’une des fondatrices, et de la force que lui a toujours donnée la nature au cours des années où elle a elle-même vécu la violence avec des hommes: «Lors de mes huit ans de voyage en Amérique latine et en Afrique j’ai expérimenté des formes d’agriculture collective, respectueuse de la Terre, et solidaire. Ce sont ces pratiques, qui m’ont aidée à me ressourcer, que je souhaite aujourd’hui contribuer à faire renaître et à partager dans l’endroit où je suis née.» Nous honorons la mémoire d’Eugène, le grand-père fondateur du Verger, qui parlait de lui comme «son coin de paradis». Puisse ce lieu nous permettre de renouer avec la terre, là où nous vivons, de faire la paix avec notre histoire et de co-créer activement de nouvelles pratiques pour vivre ensemble humainement.


Sur une branche, un cadeau de gratitude colorée offert par une femme

L'arbre et la gratitude

 Les jardins accueillent à la journée des femmes violentées dans leur foyer et dans leur corps (femmes ayant subi des violences conjugales et femmes en cours de guérison d’un cancer). Dans cet espace, elles peuvent venir se ressourcer, peu à peu se retrouver et faire renaître la confiance en elles, leur dignité et leur intégrité. Si elles en ont l’énergie, elles peuvent participer à la culture de la terre et au soin des plantes. Elles expérimentent ainsi de nouvelles formes de relations à l'environnement, en renouant avec des pratiques humanistes et solidaires (parfois ancestrales, parfois «en cours de réinvention»).

Ce lieu est pensé hors du temps des horloges, afin que nous puissions nous reconnecter ensemble au rythme de la nature, des cultures et de la vie, afin que nous puissions ralentir et prendre le temps d’être à nouveau.

Que le contact avec la terre et les plantes aident les femmes à retrouver dignité, responsabilité, et respect dans leurs rapports à elles-même, aux autres et à la Terre.

«Prenons le temps de vivre et respirons la beauté du monde»

dit le Père Guy Gilbert.

Créer un lieu de transmission

Les terrains actuels: un peu moins d'un hectare d'expérimentations et d'engagements pour la transition
Le verger

L'actuelle "Requinquade": le petit chalet à ses débuts de rénovation. En haut création d'une bibliothèque-lieu de repos, en bas aménagement d'une cuisine collective
le petit chalet

Les jardins partagés: on expérimente des pratiques d'agriculture collective, on s'entraide, on apprend, et on partage de bons repas sous les pommiers!
les jardins partagés

L'actuel lieu d'accueil et d'ateliers: une yourte auto-construite grâce à l'aide de la tribu Vivace et des jardinier-es disponibles pour le montage. Seul-e, on ne monte pas une yourte...
La yourte se monte


La volonté de promouvoir la résilience écologique, sociale et individuelle par le contact avec la terre et les plantes, et par la solidarité, notamment la solidarité intergénérationnelle, et l'agriculture collective est une motivation importante de nos actions. Cette volonté s'associe à des valeurs éthiques qui sont des finalités de la permaculture. Dans le mot «finalité» s’entend l’idée d’objectif à atteindre. Dès à présent nous agissons en conformité avec les valeurs qui nous portent. Ces finalités sont également les valeurs qui nous motivent au quotidien, le chemin et non la destination.

Voici ces finalités :

Participer concrètement à sa propre guérison en semant, plantant, cultivant ….une reconnexion à la nature et au lien social

Permettre aux femmes de renouer avec la terre nourricière et leurs propres capacités à faire pousser leur nourriture ; grâce aux soins apportés au potager leurs permettre de parfois repartir avec un panier de légumes ramassés et cultivés ensemble. Expérimenter le partage équitable des ressources et récoltes selon ses besoins réels.

Créer un endroit où les femmes peuvent venir avec leurs enfants 

Participer à la sécurité alimentaire des communautés locales tout en protégeant la biodiversité

Inventer ensemble une forme d’agriculture non dépendante des énergies fossiles, utilisant des énergies saines et renouvelables œuvrant à la préservation des ressources en eau

Créer un archipel de vie féconde et durable qui produira localement des végétaux de qualité et de la beauté

Ce sont là des finalités portées par une éthique de vie.

Une autre de nos finalités est de participer au changement sociétal, environnemental et écologique en créant un lieu qui soit un lieu d'expérimentations, de rapports respectueux entre l'être humain et la nature, un laboratoire, où il est possible de faire des ateliers, des formations, d’échanger, de partager et d’apprendre. Nous souhaitons que ce lieu soit ouvert à toutes les catégories sociales ou, comme l'on dit couramment, socio-économiques.

Voici quelques unes des activités organisées par l'association

Permaculture: repenser notre place d'êtres humains sur la Terre et notre agriculture (mot dont le sens est littéralement "honorer la Terre")

Atelier permaculture

Partage de savoir-faire: la richesse de la transmission intergénérationnelle
Atelier usage de la faux

Auto-rénovations et auto-constructions: l'union fait la force et motive la créativité
Remise en route de la fontaine

Cercles et ressourcements
Cercle de partages

Lieux d'ateliers et de méditation

Créations: la nature est une source d'inspirations
Auberge à insectes


Qui sommes-nous et que faisons-nous?


La tribu de l'association: une équipe de femmes bienveillantes, engagées et solidaires

la tribu en action

Sandrine
Ce que m'apporte le jardin : il fut un lieu de guérison après mon cancer. Mettre les mains dans la terre pour désherber, puis créer le jardin, semer, planter m'ai aidé à rebouger mon corps, et à reprendre confiance en mes capacités. 
J'y ai pleuré en enlevant des chardons, et j'y ai ri et chanté en mangeant les premières fraises.
Aujourd'hui c'est un lieu où je me rends avec plaisir. Je vais y profiter de l'ombre des pommiers, de la vue sur la Chartreuse, du chant des oiseaux et de la compagnie des ami-e-s jardiniers.

Car Johanne, Maryse et tous les ami-e-s jardiniers participent par leur ouverture, leurs envies de partager (les trucs de jardinier, les graines, les recettes de cuisine...) à faire du Jardin de l'Arbre Joie un lieu de VIE, un lieu de SOLIDARITE et d'HUMANITE.

Merci à Johanne et à Maryse de m'avoir ouvert le jardin de l'Arbre Joie  


Maryse
Maryse 58 ans, jardinière ferme dans ses racines, soutien énergique des projets qui se concrétisent.
« J’ai vu Eugène mon père, crée ce jardin verger il y a presqu’un demi siècle. Je l’ai souvent accompagné pour l’aider. C’est un lieu où il a toujours pris soin de la Terre et du vivant, où il aimait transmettre savoirs et conseils à ceuelles qui venaient lui rendre visite. Un lieu d’abondance où l ‘on récolte à foison de beaux légumes, des fruits délicieux et de vrais liens humains ! Cette histoire marque profondément l’énergie de ces terres, aujourd’hui de l’Arbre Joie.
Depuis 4 ans, l’expérience des jardins partagés, les ateliers qui s’y déroulent, les groupes de femmes qui s’y retrouvent ont tracé la voie pour ce projet de ferme et planté solidement ses fondations.
J’accompagne et soutiens Johanne dans la mise en oeuvre du projet en m’appuyant sur mes expériences associatives et professionnelles. »


Johanne

Un projet né d’expériences personnelles

Ce projet a germé un jour où Johanne se promenait dans le verger, à la recherche d’apaisements. Famille et ami-es sont rapidement venu-es former un solide groupe de bénévoles et sont aujourd’hui d’importants soutiens, à la fois membres actifs et ressourçants.

Ce projet est né entre autres de l’expérience personnelle de Johanne, et c'est une de ses forces. C’est une femme qui a elle-même expérimenté des violences conjugales et sexistes que son corps a notamment cristallisées sous la forme d’un mélanome qu'elle a guéri. Le jardinage et sa relation à la Terre ainsi que la danse l'ont aidée et l'aident encore à transformer et à guérir ces expériences de vie:

"Je suis native du lieu, et c'est plus précisément dans ce verger que mon grand-père m'a transmis son amour du travail bien fait et que la générosité de la Terre alliée à l'humilité du jardinier produisent l'abondance toujours partagée. Ce qui dans la circulation des énergies fait naître et renouvelle la joie."

C'est avec l'huile de coudes qu'on réalise!

Johanne termine cette année son Brevet Professionnel d'Exploitant Agricole. Autrement dit, elle acquiert une qualification légitime qui nous aidera dans les démarches à accomplir et nous facilitera certains partenariats.


Frédérique

L’arbre Joie est un endroit comme je n’en avais jamais rencontré, les mots vont le banaliser… Comme si sa simplicité en faisait sa richesse…

Ce projet magnifique est porté par Johanne une jeune agricultrice dynamique et joyeuse. Tout en douceur elle veille à maintenir les valeurs qui l’animent, la gaité, l’ouverture et un humanisme sincère. Alors la solidarité y coule de source, et l’entraide, le respect de chacun.ne, la fête, sont le terreau de l’association.

La nature en est le socle. Dans un vrai échange amical avec elle, l’’Arbre Joie offre à celles et ceux qui y viennent un vrai Accueil comme on en vit peu.

Dans ce rapport naturel à la terre, cette relation concrète et respectueuse on trouve facilement sa place. On jardine, sème, plante, cueille comme une évidence, tout en douceur…et la terre alors nous offre ces moments magiques de paix, de simplicité, de détente.

Ce sont ces cadeaux de la vie que L’Arbre Joie offre, et m’a offert depuis 2 ans que nos routes se sont croisées.


Fanny

Fanny Grenier, 44 ans. J'habite avec ma famille aux Granges des Toits-Liés, un habitat groupé né de rêves de partages, de communs, de convivialité et de simplicité.
Architecte de métier, militante à Alliance PEC pour soutenir les paysans, aider à préserver les terres agricoles et à devenir consomm'acteurs  et consomm'actrices, j'aime jardiner et je m'émerveille des graines devenant fleurs et légumes à partager ! J'aspire à ce que le soin porté à la terre et à ce qu'elle nous offre essème en soin porté à chacun autour de nous ☺️. L'arbre-Joie est un - le - lieu qui permet cela !

Des escapades hors du monde de la compétition, du temps englouti et des postures imposées, des escapades qui apaisent et guérissent !

Des temps de pauses loin des villes, près des oiseaux, des temps qui reposent et revitalisent !

J’espère que ce lieu va pouvoir accueillir et offrir ces moments de guérison à beaucoup de femmes qui le souhaitent et en ont besoin .

Serge le bricoleur

Je m’appelle Serge, j’ai 60 ans et je suis le papa de Johanne, la jeune femme à l’origine de ce beau projet.

 Je me suis engagé dans cette aventure pour plusieurs raisons.

Tout d’abord parce que ce projet est porté par ma fille. Étant jeune retraité de l’enseignement, cela me permet de partager de jolis moments avec un de mes enfants qui de par son parcours de vie a souvent été loin de moi, à l’autre bout du monde.

Je me sens utile en mettant à sa disposition mes compétences en bricolage, mon réseau d’amis, de connaissances qui partagent tous avec moi, cette idée de partage, de mise en commun pour un monde plus équitable, plus juste, plus humain.

L’humanisme, voilà une autre raison de mon engagement. A l’origine de ce lieu se trouvait Eugène, le grand-père de Johanne et mon ex beau-père. Il avait fait de ce jardin un lieu de convivialité, d’amitié et de partage. Un endroit où l’on se sentait tout de suite bien et où j’ai de très beaux souvenirs. Que ma fille veuille poursuivre sur cette route en y ajoutant sa personnalité, ses envies, ses convictions, son amour ne pouvait que m’inciter à l’aider. Le fait qu’elle souhaite créer là un lieu tourné vers les autres, de reconstruction pour des personnes malmenées par la vie, une respiration paisible à l’abri de la dureté du monde ne peut qu’être entraînant pour moi.

Une autre raison est l’utilisation de la terre, de l’agriculture, du jardinage comme supports, comme moyens de cultiver la richesse de chaque personne. Mes grands-parents étaient agriculteurs de montagne, mes parents ont toujours cultivé un potager. J’ai toujours vu des gens dans ma famille travailler la terre, essayer de transmettre les valeurs liées à cette activité : le goût de l’effort, la persévérance, la patience, l’entraide, le sens de l’observation. Valeurs qui m’ont permis de me construire en tant qu’homme et citoyen. Que Johanne poursuive dans ce sens en y rajoutant le respect de la nature, j’en suis heureux et fier.

La dernière raison est peut-être liée à mon ancien métier. J’ai toujours essayé de transmettre, de partager des savoirs, d’amener des enfants à grandir en se respectant, en croyant à leurs capacités. Que les Jardins de l’Arbre-Joie deviennent ce lieu de formation, de connaissance, de culture, d’ouverture aux autres, un bien beau défi à relever.


Destinations de l'argent collecté


      Dans l'immédiat, nous avons besoin de collecter cet argent afin de profiter de l'opportunité qui nous est offerte: acheter une vieille ferme du XVIIème siècle situé à l'écart de la ville, offrant la possibilité de créer un lieu d'hébergement pour les femmes violentées et leurs enfants.

La bâtisse surplombe la vallée et comprend 200m2 de granges rénovables et constructibles. Son emplacement paisiblement, à une vingtaine de minutes à pieds des jardin en fond un lieu de ressourcement et d'hébergement idéal pour les femmes qui ont besoin d'être protégées, et de se retrouver.
Etant donné la nature du projet, merci de nous contacter pour de plus amples informations car nous ne pouvons donner beaucoup de détails, la nature protectrice de ce potentiel lieu d'accueil devant être conservée.


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Si nous ne l'atteignons pas, nous nous concentrerons sur le rachat des terres agricoles (parcelle 158) qui entourent la ferme afin de créer la forêt-jardin et d'agrandir le jardin de ressourcement. Nous imaginerons alors l'accueil sous une autre forme (cabanes, yourtes, roulottes). L'argent collecté permettra
  • d'acquérir la parcelle 158
  • d'acheter les arbres, les plants qui serviront aux cultures et des semences paysannes
  • de rénover le hangar pour en faire un atelier de séchage et de transformation des plantes
  • d'équiper le lieu en énergie solaire
  • de creuser la cuve de récupération d'eau de pluie et d'organiser une irrigation efficace et simple des cultures
  • d'installer un système de filtration de l'eau du puits
  • de construire une cabane et deux roulottes pour l'accueil des femmes

Si nous dépassons ce pallier, une fois le lieu acquis, nous pourrons immédiatement débuter les travaux de rénovation et de transformation:
  • création d'un logement collectif afin d'accueillir les femmes violentées qui ont besoin de se ressourcer quelques temps, ainsi que les gens qui ont besoin de venir faire un séjour à la ferme (personnes âgées seules, adolescents en difficulté et toute autre personne qui nous en fera la demande)
  • restauration de la grange qui va être transformée en une grande pièce pour accueillir des ateliers et des séminaires
  • rénovation des caves en lieux d'activités et distillerie
  • plantation de la forêt-jardin
  • création du grand bassin-réserve d'eau de pluie
  • construction de la serre solaire passive

                   


Pour tout contact:
merendet.johanne@laposte.net