Y'a des nuits... - La première représentation

Ils sont là. Ils ne dorment pas. Trop de pensées, trop de vide, trop de battements dans le noir. Alors ils parlent. Ils croisent d’autres veilleurs, hésitent, s’apprivoisent.
Et dans cette nuit bancale, surgissent des étincelles.

"C’est fou comme la nuit, ça donne envie d’aimer n’importe qui. Juste pour se sentir moins seul."

Entre répliques piquantes et silences pleins de sens, les cœurs se dévoilent un peu, malgré eux. Les blessures se frottent à l’espoir. On rit d’un rien, on s’émeut pour un mot.
Car sous le vernis de l’insomnie, c’est une comédie romantique qui se tisse, fragile et drôle, portée par des rencontres inattendues et des dialogues qui sonnent juste.

"Peut-être qu’on ne dort pas parce qu’on attend quelqu’un, sans le savoir."

Y’a des nuits qui mériteraient pas de voir le jour est une comédie romantique délicate et décalée, portée par une mise en scène qui sublime l'intimité des confidences nocturnes. Une nuit pour vaciller, espérer, et peut-être, aimer.