
POUR LA LIBERTÉ D'EXPRESSION, LE DROIT DE MANIFESTER !
in favour of Ligue des droits de l'Homme METZ
My donation
I donate once
Free amount €
My contact information
I already have a HelloAsso account:
* Required fields
Mon récapitulatif
Sélection | Don |
---|---|
Don | 0 € |
Votre contribution au fonctionnement de HelloAsso
-
| 0 € |
Total | 0 € |
HelloAsso est une entreprise sociale et solidaire, qui fournit gratuitement ses technologies de paiement à l'organisme
Ligue des droits de l'Homme METZ
. Une contribution au fonctionnement de HelloAsso, modifiable et facultative, vous sera proposée avant la validation de votre paiement.
Plateforme de paiement 100% sécurisée
Toutes les informations bancaires pour traiter ce paiement sont totalement sécurisées. Grâce au cryptage SSL de vos données bancaires, vous êtes assurés de la fiabilité de vos transactions sur HelloAsso.

CHANTER, REVENDIQUER : C’EST INTERDIT ?
Le 23 mai à Metz, 14 camarades ont été verbalisé.e.s pour participation à une manifestation interdite.
Elles et ils refusent de se laisser intimider par l’autoritarisme et contestent ces verbalisations devant le tribunal.
UNE CAGNOTTE : POUR QUOI FAIRE ?
Chaque personne verbalisée va comparaitre devant le tribunal.
La cagnotte est votre participation à l’indemnisation des avocats.

Le détail des faits : Répétition de la « CHORALE REVOLUTIONNAIRE »
Le 23 mai 2020, 19 personnes de la Chorale Révolutionnaire se retrouvent à l’esplanade de Metz pour une répétition revendicative. Toutes leurs répétitions le sont, c’est l’ADN d’une chorale révolutionnaire.
Nous sommes dans une phase de déconfinement partiel. Les regroupements de plus de 10 personnes sont interdits.
La répétition s’organise en trois groupes : huit, sept et quatre personnes. Les groupes s’installent à bonne distance les uns des autres. Au sein de chaque groupe, la distanciation physique d’un mètre est respectée.
Quelques panneaux sont installés pour dénoncer la gestion scandaleuse de la crise sanitaire.
Elles et ils sont interpelés et verbalisés par la police : « Il est interdit de revendiquer ».
