One Song One Earth
EnvironnementOne Song One Earth met la musique au service de l'écologie afin de développer de nouveaux récits et ainsi planter la biodiversité dans le coeur des femmes et des hommes. Nous finançons les projets terrain des peuples autochtones afin de protéger les écosystèmes à haute valeur écologique.
Nos actions en cours
Qui sommes-nous ?
Pourquoi adhérer ?
Rejoindre One Song One Earth, c’est participer à la protection des peuples autochtones et de leur héritage.
Les peuples racines représentent 5% de la population mondiale et couvrent 22% du territoire mondial.
Ils protègent 80% de la biodiversité.
En finançant des projets selon leurs initiatives, nous protégeons l’humanité et toutes les espèces vivantes.
One Song One Earth met la musique au service de l'écologie afin de développer de nouveaux récits et ainsi planter la biodiversité dans le cœur des femmes et des hommes.
A quoi sert l'argent collecté ?
Tous les membres de la Tribu One Song One Earth sont bénévoles.
Toutes les adhésions et les fonds récoltés sont directement investis dans la mise en œuvre des 3 projets en cours :
L'Artemisia : Protéger les peuples autochtones du paludisme
En Amazonie, en Afrique et en Asie, le paludisme fait toujours des ravages.
Plus de 3 milliards de personnes vivent dans des zones infestées de paludisme, c’est-à-dire la moitié de la population mondiale.
219 millions de cas ont été recensés en 2017 selon les chiffres de l’OMS (91 % des cas en Afrique).
Première cause de décès par maladies infectieuses : 435 000 décès chaque année
70 % des décès chez les enfants de moins de 5 ans.
Il existe une solution de guérison naturelle éprouvée à cette maladie, utilisée depuis des siècles en Asie et en Afrique, sans danger, sans toxicité ni effets secondaires.
Notre partenaire « Les Maisons de l’Artemisia » a réalisé une étude démontrant l’efficacité thérapeutique de l’Artemisia selon les normes de l’OMS. Il a montré que la cure Rate of Artemisia est plus efficace que la médecine ASAQ.
One Song One Earth a décidé de financer la création de maisons d’Artemisia.
Notre objectif prioritaire est de rendre la plante accessible dans un premier temps dans la forêt amazonienne, notamment dans la région où vivent les Javari. Les fonds récoltés permettent de :
>Financer les outils de production
>Créer un jardin de plantes médicinales
>Former une équipe locale
>Ouvrir un centre Maison de l'Artemisia
Gabon : Une école de la forêt au service de la biodiversité?
Au cœur de la forêt primaire, il s’agit de mettre en place de multiples actions pour l’écologie, la santé, l’éducation, l’art et la culture :
>Création d'un jardin en permaculture biologique pour viser l’autonomie alimentaire du village et répondre aux besoins de la communauté permanente et des visiteurs ;
>Création d'un jardin de plantes médicinales et d’une pharmacopée écrite et protégée, pour la transmission aux générations futures et pour lutter contre la biopiraterie ;
>Création de locaux, avec des salles de formation, grande salle de conférence, sanitaires et hébergements, construits avec des techniques traditionnelles et écologiques ;
>Ecole de formation et de transmission des savoir-faire et des savoir-être pour la préservation de la forêt et de sa biodiversité. Transmission des techniques de préservation et gestion durable de la forêt
>Création d’un centre de soins traditionnels et spirituels, pour mieux se reconnecter et retrouver l’équilibre entre son corps et la nature
>Création d’un atelier d’artisanat et des ateliers de musique traditionnelle
Brésil : les maisons de la Terre Mère pour protéger les forêts primaires
>Une maison des plantes médicinales et des soins traditionnels, pour préserver la biodiversité et les savoirs issus de la forêt, tout en favorisant l’autonomie de la santé des communautés ;
>Une maison des femmes et des hommes semenciers. La forêt sacrée des Kariri-Xoco est l’un des derniers sanctuaires de la forêt primaire atlantique, aujourd’hui menacée par la déforestation. Si la communauté protège la forêt depuis toujours, elle souhaite aussi amplifier ses actions de reforestation dans ces zones sèches de savanes qui bordent la forêt primaire.
>Une maison des femmes autochtones, un lieu d’accueil pour toutes, Kariri-Xoco ou issue d’une autre ethnie, pour valoriser leurs rôles et leurs droits : accès à l’éducation, libre choix de leurs actions sociales et écologiques, lutte contre les violences, favoriser leur autonomie économique. L’objectif est de le accompagner dans leurs actions de messagères de la Terre-Mère, qu’elle qu’en soit la forme ;
>Une école bilingue, kariri-Xoco/portugais, pour perpétuer le premier vecteur de la culture et de la vision animiste de la nature.