Protection Animale de Guyane

Environnement

PAGuyane est une association à but non lucratif, déclarée d'intérêt général, qui oeuvre depuis 2013 pour la cause animale.

Nos actions en cours

Nous sommes actuellement en train de mettre en place nos prochaines initiatives. Revenez bientôt pour ne rien manquer !

Qui sommes-nous ?

La PAGuyane est une association loi 1901, déclarée d’intérêt général, elle oeuvre depuis 2013 pour les sans voix, nous travaillons pour mettre en place des projets sur le long terme pour l'amélioration de la condition animale, nous avons à disposition un refuge à Macouria  et des locaux en centre ville de Cayenne d'un potentiel de 500m2 facilement aménageable avec quelques travaux, l'objectif de cette année 2018 étant la création d'un dispensaire afin de mettre en place des campagnes d'identifications, vaccinations et stérilisations de chats et chiens, pour cela nous avons besoin de soutiens pour mener à bien notre mission qui est très difficile, nous recherchons sans cesse des bénévoles  afin de sauver le plus grand  nombre d'animaux et développer nos actions.

Nous effectuons des adoptions en Guyane et aussi en France par transferts aérien  afin de leurs donner une nouvelle vie.

 





Les actions de notre association

Collectif Outre-mer de Protection Animale

Le collectif Outre-Mer de  protection animale est un groupe constitué d’associations de protection animale, de bénévoles et d’adoptants d’animaux créoles intervenant dans les cinq départements d’Outre-Mer et en métropole.

Le Collectif  Outre-Mer de Protection Animale porte, pour les départements d’Outre-Mer, un projet à visée économique, écologique, citoyenne et solidaire. En effet, la protection animale peut se concevoir autrement que comme une action idéologique en opposition avec les intérêts humains. Bien au contraire, nous pensons que la protection animale, comme la défense de l’environnement, peut être bénéfique pour tous. Les actions et initiatives que nous souhaitons mettre en œuvre dans les départements d’Outre-Mer sont pensées afin que les animaux domestiques, la faune sauvage, les habitants mais aussi les finances publiques soient gagnants. 
L’objectif premier du collectif est de proposer une alternative à la politique de mise à mort des animaux abandonnés et/ou trouvés errants par les fourrières dans les DOM. Aucune donnée sur le coût de cette politique n’est rendue publique mais compte-tenu du nombre d’animaux tués en fourrière, le coût supporté par les collectivités territoriales nous apparaît exorbitant. Cette politique de mise à mort n’a pas démontré son efficacité puisque la prolifération des chats et des chiens demeure une réalité. La situation était identique il y a 20 ans, 15 ans, 5 ans… Combien de millions d’euros seront encore dépensés dans les 5, 10, 15 et 20 prochaines années pour un résultat insignifiant sur la population des chats et des chiens. Il est urgent  de remplacer cette politique coûteuse et inefficace par une politique de prévention. Il est indispensable de mettre en œuvre une organisation sur le long terme en vue de stériliser le plus grand nombre de chats et de chiens en Outre-Mer. Une telle démarche a été menée il y a huit ans à Marie-Galante et a prouvé son efficacité.

La proposition du Collectif Outre-Mer de Protection Animale se décline comme suit :


1. Proposer une organisation pour des campagnes de stérilisation des animaux errants et de propriétaires, en lien avec des vétérinaires exerçants dans les départements d’Outre-Mer, renforcés ponctuellement par des vétérinaires bénévoles ou stagiaires de métropole. Un partenariat avec les écoles vétérinaires françaises pourrait permettre à de jeunes diplômés de réaliser un stage dans un département d’Outre-Mer pour participer aux campagnes de stérilisation. Les jeunes vétérinaires pourraient être accueillis par les associations dans le cadre d’un service civique. En contrepartie de cet engagement des jeunes vétérinaires, les professionnels exerçant dans les départements d’Outre-Mer et les associations permettront aux jeunes praticiens de découvrir un environnement et une faune hors du commun.

2. Sensibiliser les habitants et les enfants au bien-être animal : des temps d’information sur l’alimentation, la santé et l’éducation des animaux, sur la législation en vigueur concernant l’abandon et la maltraitance des animaux et sur la stérilisation pourront être organisés dans différents lieux : les écoles constituent un espace de sensibilisation stratégique, comme les lieux de culture ou les lieux communautaires et associatifs. Des conférences, des temps conviviaux pourront être organisés. 
3. Former et employer sur chaque département des personnes chargées de renforcer les liens sociaux. Il pourrait être envisagé que des « professionnels de liaison » soient recrutés et formés pour lutter contre l’isolement des personnes vulnérables et participent à la sensibilisation des habitants au bien-être animal. Des financements pourraient être recherchés auprès du Conseil de l’Europe dans le cadre de sa politique de développement social et économique et en faveur de la formation. 

4. Se doter de moyens pour toucher les zones les plus excentrées. Une unité mobile de soins vétérinaires pourrait être constituée sur chaque département. 

5. Organiser et renforcer, avec les associations en métropole, le transfert d’animaux stérilisés et adoptables afin de faire baisser significativement le nombre de chats et de chiens dans les départements. Instaurer l’adoption responsable dans les outre-mer.







Soutenez-nous

Nous recherchons, sans cesse, des familles d'accueils (FA) pour des chats et des chiens, des bénévoles, et nous recrutons des personnes motivées à faire avancer notre Collectif Outre-mer de Protection Animale - COPA, association mère en France, afin de faire évoluer la cause animale dans les départements DROM-COM.