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Climat et petits cycles de l'eau - Accueil : Le livre « Climat et petits cycles de l’Eau, Les solutions du nouveau paradigme de L’Eau » sort le 6 février 2025, enrichi de solutions avérées depuis plus de dix ans et confirmées par les catastrophes récentes ! L’emballement climatique exige une vigilance sur l’ensemble des bassins versants et un travail AVEC la Nature et non contre elle ! Faites découvrir autour de vous ce nouveau rapport à l’Eau ! Valérie Valette a ajouté à la « bible » de Michal Kravcik des observations précises et des recommandations pratiques utiles à chacune et chacun, chercheurs, officiels, professionnels et citoyens ! Un livre à découvrir absolument ! En pré-vente dès janvier sur Souffle d'or, Fnac.com, etc. 

Aidez-nous à finaliser un projet-pilote de solutions alternatives écologiques pour prévenir les inondations tout en alimentant les nappes phréatiques et en retenant sédiments et embâcles potentiels et pour éviter des travaux destructeurs dans cet espace naturel sensible ! Trois barrages écrêteurs de crues (jusqu'à 200 m de long et 15 m de haut) sont prévus par le Smagga : dans la vallée de Barret, à La Planche entre Soucieu et Messimy et à Givors / Vernes sur le Mornantet). Cf les travaux pour le barrage de l’Arbresle, pris par les élus comme “modèle” :

Le Smagga (Syndicat de mise en valeur, d’aménagement et de gestion du bassin versant du Garon) a décidé, en décembre 2022, de réactiver un projet vieux de 20 ans, issu de la crue historique de 2003, « prévention des inondations » de 3 barrages écrêteurs de crues : deux sur le Garon (Brignais et Soucieu / Messimy / La Planche) et un sur le Mornantet (Givors / Vernes). Le collectif « Touche pas ma rivière le Garon » s’oppose à ce projet et propose des alternatives plus douces et plus efficaces à long terme, pour faire coup triple : lutter à la fois contre les inondations, la sécheresse et l'érosion ! Il a déjà rassemblé plus de 4000 signatures à sa pétition dont près de 3000 sur internet. Une association a été créée le 26 mai 2023 « Sauvegarde de la Vallée vivante du Garon ». Ce financement participatif lui permettra d’obtenir de professionnels expérimentés qui la soutiennent une contre-expertise et des propositions de solutions intermédiaires entre le tout génie civil et le tout naturel. Des solutions pertinentes existent et ont été testées avec succès dans plusieurs pays comme la Slovaquie*, la Norvège*, l'Angleterre, l'Inde, la France**... A nous de les tester ensemble sur le bassin versant du Garon ! Des appels à projet européens vont dans ce sens. Participez à notre financement participatif ! Vous pourrez bénéficier, entre autres, d'une réflexologie faciale avec Laila Roux, masseuse diplômée ! ;-) 

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*voir le documentaire Dobra Voda de Valérie Valette sur youtube (extrait sur l'exemple slovaque), en libre accès. Près de 500 communes ont fait construire, en Slovaquie, par des chômeurs de longue durée, des petits barrages en bois, en amont, sur les bassins versants, et d’autres aménagements naturels pour prévenir les crues torrentielles. Coup double et même triple : ces ouvrages limitent le ravinement, l’érosion, les chutes d’arbres ; par ailleurs, ils enrichissent les sols dans les zones hautes et alimentent la nappe phréatique. Les maires témoignent des résultats, plus que satisfaisants… Michal Kravcik a obtenu le prix Goldman, l’équivalent du prix Nobel d’écologie. Il a par ailleurs inspiré d’autres hydrologues comme Bent Braskerud, en Norvège, qui ont réalisé des ouvrages similaires avec succès. Actuellement, plusieurs barrages écrêteurs de crues sont « effacés » car des solutions plus douces leur sont préférées. Evitons de détruire la vallée de Barret car « effacer » un désastre n’est pas possible. On ne peut pas revenir en arrière, une fois que les arbres sont arrachés, que la faune et la flore ont disparu ! Nous avons le temps d’étudier avec sérieux et de tester de vraies alternatives, pour limiter à la fois l'inondation et la sécheresse, puisque les deux sont liées, ainsi que l'érosion par ruissellement et l'emballement climatique. En effet, quand la végétation retrouve sa vitalité, elle remplit à nouveau son rôle régulateur pour le climat, par l'évapotranspiration. 

**Le film de Valérie Valette a inspiré le Syndicat mixte des rivières du Beaujolais qui a récemment organisé plusieurs projections-débats sur ce thème. Entre autres, le SMRB, les « brigades nature » (6 personnes) et le lycée agricole ont pratiqué une vraie coopération avec les habitants - en particulier les agriculteurs, les viticulteurs, la Fédération de pêche – et avec la Maison familiale rurale, l’association « Agir pour l’eau » et plusieurs partenaires institutionnels. Dans un « bassin pilote », ils ont mené avec succès, depuis 3 ans, des chantiers participatifs et divers aménagements doux pour prévenir les inondations et assurer une meilleure qualité de l’eau des rivières. Des lycéens ont contribué à rencontrer chaque propriétaire pour lui expliquer le bien-fondé de la démarche. Il a été possible de rétablir et aménager des zones d’expansion des crues et des méandres sur les rivières, de construire des petits barrages avec des piquets d’acacias dans les fossés, d’enherber des vignes, de les entourer de haies, … La satisfaction, après coup, est unanime.

Ce documentaire a été primé dans plusieurs festivals et est diffusé dans les salles de cinéma (visa d'exploitation CNC et DCP). Entre autres :

Contact : [email protected] ou 0660714206. Nous sommes à votre écoute.