Si le Noir m'était Conté

Éducation et formation

Aider les valides à aborder la situation de handicap visuel sereinement pour accompagner et offrir des services à ces publics

Nos actions en cours

À la une

Qui sommes-nous ?

Origines

L’association est née en 2018, de la volonté et de l’implication de sa fondatrice et responsable, Marie-Hélène DOUGNAC -elle-même aveugle depuis plus de 20 ans- de mettre bénévolement ses compétences, réseaux et expertises en matière de compensation et d’approches de la situation de handicap, dans les domaines professionnels qui ont été les siens.


La retraite offre ce cadre, bénévolement et ponctuellement, dans le respect des contraintes de santé qui ont amené sa fondatrice à ne conserver que ses activités non professionnelles de recherche.

Conservateur, ayant eu des responsabilités associatives nationales et internationales, ainsi que des fonctions dans les domaines du livre, de la lecture, de l’enseignement, de la formation, de l’accès à l’information et à la culture et du patrimoine avec sa mise en valeur, la fondatrice a souhaité continuer ponctuellement à œuvrer dans ces domaines, sur les problématiques relatives à la prise en compte de la situation de handicap et à sa compensation.


Objectif

ARTICLE 2 des Statuts de l’association, déposés : OBJET

Cette association a pour objet :
Accompagner, compenser et sensibiliser à la situation de handicap -notamment visuel- au sein de la société, grâce à une expertise reconnue, par des actions appropriées menées bénévolement par sa Présidente, au plan local, national ou international. Domaines d'action privilégiés : l'accessibilité, l'insertion dans la société, les études et la formation, la vie quotidienne, l'accès à l'information, aux arts et à la pratique culturelle, en situation de handicap.


Nom de l'association

Pourquoi « Si le Noir m’était Conté » ?
En écho aux longues heures passées dans la joie du partage d’un conte, d’une ballade, d’une œuvre d’art, d’une lecture… « dans le noir pour moi », apparemment, mais surtout pour les autres ! ; qu’ils soient mis en situation ou non.

« Je me suis rendu compte, au bout de tous les échanges qui en sont nés, avec des « voyants », qu’ils m’imaginaient dans une obscurité effrayante, si triste et dépourvue de lumière et de joies, d’activités épanouissantes, faite seulement de renoncements et d’incapacités…
Que j’ai voulu leur « conter » ce « noir » si effrayant pour eux et pour les « perdants la vue » et leurs accompagnants. Cela s’exprime au travers de mes activités d’écriture et de recherche, ainsi que par celles de l’association depuis sa création.
Les questions les plus inattendues et les plus touchantes venant des enfants, qui osent exprimer tout haut ce qui traverse leurs esprits à ce moment-là. »
Marie-Hélène Dougnac