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Faire un don à TRUFFICULTEUR DE LA CÔTE DE BEAUTÉRelancer la culture de la truffe noire d'hiver, via du bénévolat, l'agritourisme, écotourisme, et recherche scientifique.

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Présentation du projet:



Cette association a pour objet cultiver des arbres infectés par la truffe d’en vendre ses mérites au travers de plusieurs axes,


Aspect scientifique: - de rendre moins aléatoire et plus régulière la production de truffes de qualité dans le contexte des changements climatiques.

D'en reporter les avancées au près de d'institut scientifique telle que l'INRA ( Institut Nationale de Recherche Agricole).


Aspect Culturel et Patrimoniale: - Maintenir la culture de la truffe qui a aussi un fort impact sociétal puisque les truffes sont des fleurons de la gastronomie française qui a été reconnue par l’UNESCO et ainsi contrer l'invasion de la truffe de Chine.


Aspect touristique: - Les truffes appartiennent en effet à l’héritage culturel de plusieurs régions ce qui en fait un bon moyen de développement rural, notamment via l’écotourisme. Visite et sensibilisation du grand publique à l'écologie, la gastronomie, la protection du patrimoine.

Découverte de circuits de production, pour le grand public.





Origine du projet:


Nous sommes des personnes qui passionnées de la nature et de la culture respectable de l'environnement. C'est en apprenant que la truffe noire est en voie de disparition que nous nous sommes intéressés à la trufficulture. Ayant des capacités pour chacun différentes nous pouvons jouer de nos atout pour aider la science, la nature et nos gastronomes, 


A quoi servira l'argent collecté ?


Vos dons, servirons à fiancer:

- Les outils informatiques afin de concaténer les données, mesures, photos et de les remonter aux institut scientifique officielles.

- l'achat de 2 hectares de terre non cultivée ( bio).

- la clôture du terrain afin d’éviter que la faune viennent grignoter les petits plants à peine poussés (1 an et 50cm).

- remercier les bénévoles participants au désherbage, la préparation des trous accueillant les arbustes environs 800, la plantation et la mise en place de mini serres de croissance, en leur préparant de bons pique nique lors des journées d'actions. 


- l'achat des équipements de mesures.



- l'achat des plants mychorizés.

- l'achat et la mise en place d'un forage et du système d'irrigation.

Forage
irrigation


- l'achat d'une serre de grande envergure afin d'y placer le matériel et laboratoire d'analyses.


Labo

Notre équipe

Pierre, et moi même sommes âgées d'une quarantaine d'années et si nous ne nous lançons pas de suite dans le projet demain il sera trop tard, nous avons besoin de faire ce geste pour la planète et si chacun en fait de même nous pensons que les générations suivantes verrons moins de souffrances.

Le geste passe pour ceux qui n'ont pas le temps ou les capacités physique par un don numéraire, chose que nous ne pouvons pas faire en totalité.

Donnez ce que vous pouvez la planète le rendra à petite ou grande échelle. Qui sait? C'est un pari que nous prenons.


Un peu d'histoire: 

En 100 ans, la production annuelle de truffe est passée de plus de 1.000 tonnes à moins de 50.

La chute colossale de la production de truffe noire est due à deux facteurs principaux.

Le premier facteur important est les deux grandes guerres.

  • Entre 1916 et 1918 : chute de la production annuelle de 1.000 tonnes à 500 tonnes.
  • Entre 1939 et 1945 : chute de la production annuelle de 500 tonnes à 150 tonnes.

Le deuxième facteur est l'exode rural débuté dans les années 50 ou l'on a vu la production de truffe glisser régulièrement de 150 tonnes par an à moins de 35 tonnes dans les années 1990.

A l’époque, les truffières étaient essentiellement sauvages, sommairement entretenues, non replantées.

Aujourd'hui trois pays produisent la majeure partie de la truffe noire: la France, l’Italie et l’Espagne. L’Italie et l’Espagne produisent à elles deux, essentiellement avec des truffières naturelles, une fois et demie la production de la France qui, elle, s’est dirigée, depuis le milieu des années 1970, vers la trufficulture. Malgré la plantation annuelle en France de 300 000 arbres truffiers, soit 1000 à 1200 hectares, la production de truffe a tendance à diminuer.

La sécheresse et les fortes chaleurs ont été particulièrement défavorables ainsi que la non-replantation des truffières a accéléré la baisse de production de ce champignon tant convoité.

Aujourd’hui, le climat est un facteur déterminant pour la production de truffes. Par exemple, la sécheresse de 2003 fit chuter la production annuelle en dessous de 30 tonnes.

Plus important encore, dans les truffières sauvages ou non entretenues la compétition entre champignons mycorhiziens et la qualité des sols, risque de voir les espèces de truffes nobles, telle la truffe noire dite du Périgord (Tuber melanosporum) ou la truffe de Bourgogne (T. uncinatum) remplacée en partie par des espèces à fort pouvoir colonisateur comme la brumale (T. brumale).

La truffe, depuis toujours, est entourée de mystères, liés principalement aux méthodes de production : quand les truffières sont spontanées, les «caveurs» ne sont pas prêts à diffuser des informations sur l’origine et les techniques utilisées dans la constitution de leur précieuse récolte. Une visite aux marchés aux truffes est en cela typique : le silence règne. En revanche, quand il s’agit de trufficulture, des données existent même si elles sont peu diffusées. Cependant, l’analyse pragmatique de ces données laisse cours à des interprétations différentes et il existe encore de nos jours de grandes disparités dans les itinéraires techniques utilisés par les trufficulteurs.

Beaucoup de mystères donc, une forte demande, des prix importants constituent le terreau de nombreuses dérives. Des marchands peu scrupuleux importent et vendent à des consommateurs mal informés des produits bien éloignés de notre bonne truffe noire traditionnelle. Le goût se perd peu à peu et de plus en plus fréquemment d’autres espèces remplacent la Tuber melanosporum. La perle noire est en danger!